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(cliquez sur le titre pour accéder au site officiel) Les 13 et 14 septembre
Ce soir est un grand soir chez les I.P.O.! Le Plus Grand Clube DBM Levalloisien du Monde accueille ses membres vainqueurs à Grandson de la Coupe du Monde du Championnat par Equipe Nationale de DBM... Si, si, c'est au moins ça! Sinon, Nous n'aurions pas autorisé nos p'tits gars à y participer ! Na! Donc bravo au membres des I.P.O. :
De gauche à droite : Philippe Bertrand, remplaçant et éleveur de champion, Philippe Sébérac, El Professor, Guy Daubagnan, un gars du Sud... de Levallois? Olivier Dader, un gars qui doit payer sa cotise... C'est le président qui l'a dit! Na! Au premier rang sur le trophée : "La Chose" éminent membre (ou partie) de la Famille Adams déguisé pour un bal masqué médiéval ou pour un GN de la même époque...
Bon... Précisons que pour faire une équipe DBM à Grandson il faut 4 gars et la France avait 2 équipes... Donc Les restes de la France ont fourni 5 gars au club des I.P.O. pour former les équipes suivantes : France 1 : Christophe Sciangula, Philippe Sébérac, Arnaud
Grenon, Guy Daubagnan Bravo à tous!
Voyez comme ils sont contents. Dommage que nous n'ayons pas pu fêter cela avec tous les
participants.
Rappelons le classement final des équipes et le nombre de points: France 1 : 31 Grande Bretagne : 25
Sont-y pas beaux!!!!
...Sauf l'écureuil de droite qui fait toujours le nuts!!!!!
Le trophée aussi est sympa!
Et avec un drapeau français ça va être encore plus mieux!!!
Ci-dessous, deux jeunes I.P.O. qui viennent se renseigner : "M'ssieur, comment on fait pour devenir Champion?" Les deux champions semblent embarrasser, car ces jeunes n'y parviendront jamais....
...Et Guy les encourage à questionner le Monsieur avec le T-Shirt à l'envers....
Pourquoi moi? S'y-arriverons pas plus!
Bon ben voilà qu'il y en a deux!
Serait peut-être temps pour L'Impératrice de rentrer se coucher... Se coucher! Quelle bonne idée.... Surtout qu'il va falloir faire la vaisselle....
Nous espérons que vous n'avez pas jeté le trophée et "La Chose" avec les restes du festin!!!...
Bon ben voilà! Ce fut une bonne soirée de lendemain de victoire! Et voici donc les photos auxquelles nous ne pouvions échapper... "La Chose" fêtant dignement la victoire!
Et "La Chose", une fois bourrée...
...Qui nous fait une démo de ping pong... Prouvant ainsi que les joueurs de DBM peuvent être aussi sportifs... En faite, les photos les plus graves n'ont pas passé la censure... Nous vous laissons imaginer! ENCORE BRAVO A NOS 8 CHAMPIONS!!!
Un peu d'histoire sur Grandson L'armée bourguignonne toute entière paraît devant la place forte de Grandson. Après quelques assauts infructueux, le duc de Bourgogne fait introduire un traître dans la cité ; ce misérable convainc les assiégés de se rendre en leur faisant espérer des mesures de clémence. Poussé par Romont et Châtel-Guyon, Charles, une fois la place rendue, fait pendre et noyer des centaines d'hommes ! Un cri d'horreur soulève la Suisse. Le 1er mars, les Confédérés, au nombre de vingt mille, Bernois, gens d'Uri, de Schwytz et d'Untervalden, marchent au devant des Bourguignons, décidés à vaincre ou à périr. Le duc de Bourgogne tient conseil avec ses capitaines. Il faut les attirer en plaine dit le grand bâtard de Bourgogne, là, notre cavalerie les taillera en pièces ! Mais le duc de Bourgogne montre une fois de plus quel piètre stratège il est ; il lance ses hommes depuis Grandson jusqu'au château de Vaux-Marcus par un chemin rocailleux, où la neige vient à peine de fondre. Le 2 mars, les deux avant-gardes sont en contact, l'une commandée par le sire de Châtel-Guyon, l'autre par l'avoyer Scharnachtal. Les Suisses, après avoir mis genou à terre pour prier, se groupent en bataillons compacts, des hérissons de piques de 6 mètres de long, contre lesquels se brise la charge des chevaliers bourguignons ; leur lance n'a pas quatre mètres, en mesure moderne, et il leur est impossible d'atteindre leurs adversaires ! Voyant l'échec des siens, le duc Charles revient à l'idée d'attirer les Suisses dans la plaine qui se trouve derrière lui. C'est trop tard ; alors que le premier échelon des gens d'armes rétrograde vers le second, les gens d'Uri, de Lucerne et d'Untervalden débouchent d'un chemin de neige que les Bourguignons ont négligé de garder ! Les mugissements sauvages des cors des Alpes, la "vache d'Uri", le "taureau d'Untervalden" remplissent les Bourguignons d'une terreur irraisonnée. Au cri de Grandson! Grandson! scandé par dix mille poitrines, les Suisses fondent sur eux. Et c'est la panique, inexplicable puisque l'action est à peine engagée, qui saisit l'armée bourguignonne ; le duc, l'épée au poing tente de faire rentrer les siens dans le rang; bientôt, il est entraîné comme un fétu par le flot des fuyards. Il se retrouve au hameau de Jougne, à seize lieues de là, avec cinq cavaliers seulement. Las de tuer les Bourguignons à grands tas, les Suisses se répandent dans le camp du duc Charles, s'émerveillant de son pavillon de velours rouge, de ses armes enrichies de joyaux. Candidement, les rudes montagnards vendent pour quelques sols les diamants du Téméraire qu'ils ont reçus en butin à des brocanteurs juifs ou lombards. A Lyon, Louis XI exulte de joie ; ses adversaires d'hier reviennent vers lui ; sa soeur, la duchesse Yolande de Savoie, lui fait envoyer des excuses sur sa conduite récente. René d'Anjou, brave tête à vent, lui cède définitivement le comté de Provence, moyennant une pension viagère. Les Suisses, qui redoutent la vengeance inéluctable du duc, supplient le roi d'entrer en guerre contre son terrible cousin. Qu'y puis-je répète le bon apôtre, vous avez remporté une magnifique victoire, mais les trêves que j'ai avec le duc de Bourgogne me réduisent à l'impuissance! " Grandson a été pour Charles le Téméraire une effroyable humiliation. Mais ce n'a été que la panique d'une armée que le siège de Neuss a épuisée. Il faut reprendre courage dit le comte de Romont. Charles est sombre; il se laisse pousser la barbe. Je ne la couperai que lorsque j'aurai revu le visage des Suisses ! répète-t-il. La duchesse de Savoie, experte en double jeu, vient le trouver à Lausanne. Ses capitaines rameutent des gens de guerre, des mercenaires, peu sûrs il est vrai. Les hostilités peuvent reprendre... C'est aussi l'avis des Suisses ; à Lucerne ils tiennent une assemblée générale pour distribuer à chaque contingent des Cantons son poste de combat. René de Lorraine vient les joindre, espérant, grâce à leur aide, recouvrer son duché Pour la petite histoire, cette année, un suisse jouait Bourguignon...
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